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frédéric taddéï - Page 3

  • Le rayon bleu...

    Les éditions Gallimard viennent de publier le nouveau roman de Slobodan Despot intitulé Le rayon bleu. Editeur et essayiste, Slobodan Despot est déjà l'auteur d'un superbe petit roman, Le miel (Gallimard, 2014), dont la lecture est chaudement recommandée...

    Il a été invité le 4 mai 2017 par Frédéric Taddéi, dans son émission Europe 1 social club, pour évoquer son livre.

     

    Despot_Rayon bleu.jpg

    " Dans un château désert, un vieux téléphone continue de sonner. Caché au fond de l’océan, un sous-marin nucléaire attend l’ordre suprême. Tous deux sont liés à Herbert de Lesmures, un haut conseiller de l’Élysée retrouvé mort à Paris. Carole-Anne, sa fille cadette, ne croit pas au suicide et encourage un jeune journaliste à mener l’enquête. Par amour pour elle, mais aussi parce qu’il est fasciné par Lesmures et le «téléphone immobile», il fera bien plus : il écrira ce livre, une complainte pour la France et le monde, unis dans leur destinée."

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  • Feu sur la désinformation... (91)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Verdun victoire politique et culturelle de la réinfosphère

      Concert de Black M pour la commémoration des 100 ans de la bataille de Verdun. Victoire de la réinfosphère défaite des médias de propagande.
      Décryptage dans I-Média.

    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : France 2 supprime “Ce Soir Ou Jamais”

      France Télévision déprogramme l’émission « Ce Soir Ou Jamais » animée par Frédéric Taddeï, une émission pourtant considérée comme un « espace de libertés nécessaire ».
      Décryptage de la normalisation des programmes de France télévision dans I-Média.

    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Banalisation de la censure sur les réseaux sociaux

      Manipulation des algorithmes sur Facebook pour cacher les propos et contenus “conservateurs”, suppression de comptes sur Twitter ou Facebook

    • 6 : Le bobard de la semaine.

     

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  • Génération BHL : et ça continue encore et encore...

    Nous reproduisons ci-dessous un excellent article de Pascal Eysseric, rédacteur en chef d’Éléments, cueilli sur le blog de la revue et consacrés à Bruno Roger-Petit et à Caroline Fourest, deux chiens de garde du système, élevés dans le chenil de l’ineffable Bernard-Henri Lévy...

    Bruno Roger-Petit - BHL - Fourest.png

    Bruno Roger-Petit et Caroline Fourest entourent le maître Bernard-Henri Lévy

     

    Bruno Roger-Petit, Caroline Fourest, les ravages de la génération BHL

    Il y a plus de trois décennies ans, le 3 octobre 1980, à 18 h 38, une bombe d'une forte puissance explosa devant la synagogue de la rue Copernic, à Paris, provoquant la mort de quatre passants. Le lendemain, Jean Pierre Bloch, le président de la LICRA déclara au journal de 13 heures de TF1 :
    «Les assassins, ce sont aussi ceux qui ont créé le climat. (…) Je dis que cet article prête à l'attentat et crée l'antisémitisme. Malgré ce que dira M. Pauwels — il versera sans doute comme beaucoup d'autres de larmes de crocodiles sur les victimes — , je dis que le responsable de l'assassinat, c'est cette presse ».

    Trois jours plus tard, lundi 6 octobre 1980, Bernard-Henri Lévy écrit dans Le Quotidien de Paris :
    «C’est toujours délicat d’établir des liens de cause à effet entre les discours et les actes. Mais il ne me paraît pas absurde de dire que tout le ramdam qu’on a fait récemment autour des thèses élitaires, indo-européennes, parfois eugénistes, des sous-développés de la nouvelle droite, par exemple, a préparé le terrain à la situation d’aujourd’hui. »

    Dans son viseur : Jean-Claude Valla, le jeune rédacteur en chef du Figaro Magazine, l'un des journalistes les plus brillants de sa génération, et l'une des figures les plus importantes et attachantes de la Nouvelle Droite. Ce dernier dut démissionner. La thèse du «climat » venait de faire sa première victime. Dans ses Mémoires — hélas inachevés —, que vient de faire paraître la vaillante maison d'édition Alexipharmaque, Jean-Claude Valla rappelle à toutes fins utiles :

    «On sait aujourd’hui qu’il s’agissait de Palestiniens appartenant à un petit groupe dissident du FPLP de Georges Habache, le «Palestinian Liberation Front Special Command » dont le chef s’appelait Salim Abou, et que l’explosif avait été acheminé par une valise diplomatique libanaise. »

    Dans une belle et émouvante préface qu'il consacre à son ami, Michel Marmin explique : « Meneur d'hommes qui savait allier la délicatesse à la fermeté, Jean-Claude Valla était un grand journaliste, doublé d'un historien non conformiste et scrupuleux. Ses mémoires, dont sa disparition prématurée interrompit malheureusement la rédaction, restituent pleinement sa personnalité lumineuse. Pour être incomplets, ils n'en constituent pas moins une magnifique leçon de conviction et de courage, deux vertus que les jeunes Européens ne sauraient trop aujourd'hui cultiver. »

    Trente ans ont passé, Jean-Claude Valla est mort à Pau le 25 février 2010, Bernard-Henri Lévy est toujours vivant. À ce jour, le faussaire n'a formulé aucun remords ni présenté aucune excuse. Trente ans ont passé, la thèse du «climat » a fait école, gangrenant le journalisme français, désormais en danger de mort.

    La thèse du «climat », l'effroyable plaie du journalisme français

    Pas une semaine ne s'écoule sans que cette détestable méthode inventée par Bernard-Henri Lévy ne soit reprise par un arriviste pour éliminer un concurrent. Il est vrai que depuis trente ans, la méthode béhachélienne d'intimidation comme moyen de promotion a fait ses preuves. La cible du moment s'appelle Frédéric Taddeï, le présentateur de l'émission «Ce soir ou jamais » (France 2).
    Adepte de la prétérition lourde et répétitive, de la double négation qui en dit long sur l'état d'esprit de son auteur, le journaliste de télévision Bruno Roger-Petit a remis au goût du jour la méthode behachelienne. Il ne s'agit pas ici de dénoncer la responsabilité dans un attentat, mais celle du succès surprise de la manifestation «Jour de Colère ». Les procédés stylistiques sont exactement les mêmes. L'absence totale d'honnêteté intellectuelle aussi.

    Dans son billet, Bruno Roger-Petit écrit : «Il n'est pas question ici de pratiquer le jeu de l’œuf et de la poule. Il n'est pas question d'accuser Taddeï (et d'autres) d'avoir engendré la manifestation «Jour de colère » et ceux de ses participants qui font un usage repoussant de ce qu'ils considèrent relever de la liberté d'expression. En revanche, on ne peut pas ne pas s'interroger sur le point de savoir si, à force d'avoir tendu le micro à divers vecteurs de divisions et d'oppositions entre Français, ils n'ont pas contribué, et Taddeï le premier, au dévoiement de la liberté d'expression transformée en arme contre la République et les droits qu'elle offre à chacun d'entre nous. »

    De là ou il est, Jean-Claude Valla me pardonnera d'avoir pensé à lui, en lisant ce passage d'un journaliste si médiocre. Il est pourtant emblématique de la tournure d'esprit d'une certaine école journalistique qui tient le haut du pavé en France (Renaud Dely, Joseph Macé-Scaron, Caroline Fourest, Nicolas Demorand, etc.). Cette génération perdue pour le journalisme a fait de la théorie du «climat » une religion. Le «climat» avant les faits. Le «climat» comme explication totalitaire du monde. Le «climat» pour mieux éliminer un adversaire idéologique. C'est Caroline Fourest qui explique à propos de l'affaire «Abdelhakim Dekhar », et avant même de connaitre l'identité du tueur, que ce n'est un «simple fait divers», mais bien un «climat particulier» qui est en cause. Fervente militante de la méthode behachélienne d'intimidation, Caroline Fourest lâche ses coups :
    « La plus grande responsabilité, aujourd'hui, est à droite, où l'absence de complexe et la surenchère ont libéré une parole mortifère. On entend décidément trop peu la droite républicaine. Où est-elle? Quand des gens de son propre camp dérapent et tiennent des propos à droite de l'actuel Front national».

    La méthode béhachélienne d'intimidation peut connaitre des ratés. Journaliste aux Inrockuptibles, David Doucet a démonté avec beaucoup de rigueur et d'à-propos les mensonges de Caroline Fourest sur Frédéric Taddeï. L'agenda de carrière ou de promotion leur tenant lieu de pensée, il est assez facile de suivre les adeptes de la méthode BHL à la trace. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, les victimes ne sont pas toutes de droite, loin s'en faut. Les petits meurtres se pratiquent également entre amis. Longtemps au service de la coterie strauskhanienne, Bruno Roger-Petit a utilisé la méthode béhachelienne contre Manuel Valls, quand en 2009 ce dernier cherchait à prendre ses distances avec son mentor, ou contre Benoît Hamon, le remuant représentant l'aile gauche du parti socialiste (quand il était dans l'opposition).


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    Biberonné au lait de l'Idéologie française, le journaliste de connivence aboie quand des journalistes nuisent à leur client ou ne correspondent pas à leur plan de carrière. Toujours prêt, le journaliste de connivence pratique le contre-feu médiatique. À coup de  point d'interrogation et de basses insinuations. D'injures aussi. Il faut sauver le client. À tout prix.

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    Mais, c'est certainement dans l'art de l'insinuation que le journaliste de connivence peut le mieux déployer son art. Son domaine : la généralisation vague, la dénonciation globalisante de la droite, le retournement de veste, le commentaire venimeux. Ecrire tout est son contraire, mais toujours dénoncer. Faire son miel des ragots sur la vie privée sous un président de droite, et si possible en inventer, mais pour mieux dénoncer les atteintes à la vie privée sous un président de gauche. Tartuffe à l'heure d'internet. Bruno Roger-Petit y excelle.

     

    Ecran3

     

    Pascal Eysseric (Blog Eléments, 29 janvier 2014)

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  • De Gaulle, Jean Monnet, l'Europe et l' Allemagne...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un extrait de l'émission Ce soir ou jamais du 10 mai 2013, animée par Frédéric Taddeï au cours de laquelle Marie-France Garaud intervient sur la question européenne et sur l'Allemagne et rappelle quelques vérités sur Jean Monnet, l'agent américain...

     

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  • La crise cachée...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une intervention de l'écrivain Renaud Camus pendant l'émission du 13 novembre de Ce soir ou jamais, au cours de laquelle il dénonce le silence des médias et des intellectuels sur le phénomène qu'il appelle "le grand remplacement", c'est-à-dire le changement de civilisation que connaît l'Europe au travers du changement de sa population par l'immigration.

    Renaud Camus est l'auteur, notamment, de plusieurs essais importants comme Le grand remplacement (David Reinharc, 2011), Décivilisation (Fayard, 2011) ou Le communisme du XXIème siècle (Xenia, 2007).

     

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  • Richard Millet à l'émission "Ce soir ou jamais"...

    Vous pouvez visionner ci-dessous un extrait de l'émission du 4 septembre 2012 de "Ce soir ou jamais", diffusée par France 3 et dirigée par Frédéric Taddéi, à laquelle était invitée Richard Millet, à l'occasion de la polémique suscitée par son dernier essai, Langue fantôme, publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux, qui contient un texte intitulé Eloge littéraire de Anders Breivik.  

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